Semaine de la mobilité
Vous l'avez certainement lu ou entendu au détour d'une information, ce mardi est le premier jour de la Semaine de la mobilité, qui a choisi pour thème cette année : "De l'air pur pour nos villes".
Le but de ce type d'action vise bien entendu à nous faire réfléchir sur nos modes de déplacements, comment limiter toujours davantage l'usage de la voiture et tenter de trouver d'autres moyens de transports (moins polluants et moins énergivores dans la mesure du possible).
Comment limiter toujours davantage l'usage de sa voiture ?
Petit à petit, champ après champ, nous parvenons dans notre vie quotidienne à réduire le nombre de fois où nous prenons la voiture. Le vrai gros problème reste le lieu de travail de Stéphane, impossible à rallier dans les conditions actuelles avec des transports en commun ou même avec du co-voiturage. Mais nous ne désespérons pas de trouver prochainement une alternative à la voiture.
Pour ce qui est des déplacements que nous devons faire dans le centre-ville de Libourne, nous avons considérablement augmenté la part effectuée à vélo au cours de ces derniers mois et nous nous résignons à utiliser la voiture seulement lorsque nous devons ramener quelque chose de trop imposant pour un vélo.
Au début de ma nouvelle vie de cycliste au printemps dernier, je craignais de mettre bien plus de temps qu'en voiture et j'appréhendais un peu les voitures, ne sachant pas vraiment comment me positionner sur la chaussée, mais après plusieurs mois, je me rends compte à quel point ces craintes étaient infondées.
Cet été, le choix de notre lieu de villégiature a été influencé également par la volonté de ne pas faire trop de kilomètres et pour la première fois depuis bien longtemps, nous n'avons pas pris d'autoroutes.
Juste des nationales (parfois même des communales) sur lesquelles nous avons roulé moins vite (donc diminué notre consommation d'énergie).
Nous avons en outre pu profiter de l'ombre apportée par les arbres bordant la route (donc pas besoin de clim... de toutes façons, on ne l'utilise pas !) et nous avons pu admirer quantité d'églises, de châteaux, villages pittoresques... que nous n'aurions jamais vus, lancés à 130 km/h sur une autoroute.
Et comment quantifier la fatigue et le stress liés à la conduite sur autoroute ?
Certes, nous avons mis près de dix heures pour faire les 400 kilomètres du retour, mais qu'importe !
Nous avons déjeuné sur la place haute de Cordes sur Ciel et goûté face au merveilleux cloître de Moissac.
Repenser le temps, son temps, est indissociable des changements de nos modes de transport.
C'est pourquoi je souscris totalement à ce qu'écrit Jean-Marc Brulé (Conseiller régional Vert d'Ile-de-France) dans un article paru dans le dernier numéro de l'Ecologiste :
"Réapprendre le temps long sera probablement l'un des enjeux de la nouvelle société, décarbonisée, qui nous attend".
Petit à petit, champ après champ...
Le but de ce type d'action vise bien entendu à nous faire réfléchir sur nos modes de déplacements, comment limiter toujours davantage l'usage de la voiture et tenter de trouver d'autres moyens de transports (moins polluants et moins énergivores dans la mesure du possible).
Comment limiter toujours davantage l'usage de sa voiture ?
Petit à petit, champ après champ, nous parvenons dans notre vie quotidienne à réduire le nombre de fois où nous prenons la voiture. Le vrai gros problème reste le lieu de travail de Stéphane, impossible à rallier dans les conditions actuelles avec des transports en commun ou même avec du co-voiturage. Mais nous ne désespérons pas de trouver prochainement une alternative à la voiture.
Pour ce qui est des déplacements que nous devons faire dans le centre-ville de Libourne, nous avons considérablement augmenté la part effectuée à vélo au cours de ces derniers mois et nous nous résignons à utiliser la voiture seulement lorsque nous devons ramener quelque chose de trop imposant pour un vélo.
Au début de ma nouvelle vie de cycliste au printemps dernier, je craignais de mettre bien plus de temps qu'en voiture et j'appréhendais un peu les voitures, ne sachant pas vraiment comment me positionner sur la chaussée, mais après plusieurs mois, je me rends compte à quel point ces craintes étaient infondées.
Cet été, le choix de notre lieu de villégiature a été influencé également par la volonté de ne pas faire trop de kilomètres et pour la première fois depuis bien longtemps, nous n'avons pas pris d'autoroutes.
Juste des nationales (parfois même des communales) sur lesquelles nous avons roulé moins vite (donc diminué notre consommation d'énergie).
Nous avons en outre pu profiter de l'ombre apportée par les arbres bordant la route (donc pas besoin de clim... de toutes façons, on ne l'utilise pas !) et nous avons pu admirer quantité d'églises, de châteaux, villages pittoresques... que nous n'aurions jamais vus, lancés à 130 km/h sur une autoroute.
Et comment quantifier la fatigue et le stress liés à la conduite sur autoroute ?
Certes, nous avons mis près de dix heures pour faire les 400 kilomètres du retour, mais qu'importe !
Nous avons déjeuné sur la place haute de Cordes sur Ciel et goûté face au merveilleux cloître de Moissac.
Repenser le temps, son temps, est indissociable des changements de nos modes de transport.
C'est pourquoi je souscris totalement à ce qu'écrit Jean-Marc Brulé (Conseiller régional Vert d'Ile-de-France) dans un article paru dans le dernier numéro de l'Ecologiste :
"Réapprendre le temps long sera probablement l'un des enjeux de la nouvelle société, décarbonisée, qui nous attend".
Petit à petit, champ après champ...