Je pédale, tu pédales, il pédale... (2)
Il est arrivé samedi.
Et pour notre première sortie, nous avons (bien malgré nous) opté pour le mode "conditions extrêmes" puisque j'ai fait les trois kilomètres séparant la boutique de la maison au moment où éclatait le second (très, très) gros orage de la journée -ici-.
C'est donc avec un oeil rivé sur le ciel de plomb et zébré d'éclairs et l'autre sur la route que je nous ai ramenés à la maison.
Premier constat : il n'est pas si facile de passer du statut d'automobiliste à celui de cycliste.
Les repères changent brutalement.
D'abord, on prend rapidement conscience de l'importance de la qualité du revêtement, en l'occurence ici, peut mieux faire !
Entre les fissures, les trous béants dans la chaussée, ceux hâtivement rebouchés avec quelques gravillons... il faut bien se concentrer sur les premiers centimètres devant sa roue.
Se concentrer aussi sur les voitures qu'on entend sans les voir juste derrière ses petites fesses, sensation vivement désagréable.
Et le ciel qui noircit toujours davantage, délivrant ses premières gouttes (pourquoi j'ai décidé de me mettre au vélo déja ??????)
Et puis il faut bien me rendre à l'évidence : je ne sais pas comment me positionner par rapport aux voitures.
Exemple simple, aux feux, je fais comment ?
Je reste derrière les 15 bagnoles (et je prends stoïquement la pluie battante), je passe sur la droite (mauvaise option, pas la place), je les dépasse par la gauche (encore moins de place) ???
Vu les circonstances humides et orageuses, pour cette fois ce sera le trottoir !
Bref, un petit apprentissage me sera nécessaire avant de me sentir totalement à l'aise. Heureusement je peux compter sur les conseils éclairés et l'assistance de deux cyclistes chevronnés (merci Thierry & Bruno !).
Allez, petit tour de la bestiole.
Importante, la touche florale !
La petite sonnette me plaît beaucoup...
... six vitesses suffisent amplement aux faibles dénivelés libournais !
La pompe qui fait joli (mais que ça, d'après le vendeur)...
... et la lumière derrière qui fonctionne grâce à des piles (histoire d'être vue la nuit même à l'arrêt)
Le panier, c'est mieux à l'avant ?
ou bien à l'arrière ?
On dira que c'est bien à l'avant et à l'arrière !
Voilà, y'a plus qu'à maintenant...
Et pour notre première sortie, nous avons (bien malgré nous) opté pour le mode "conditions extrêmes" puisque j'ai fait les trois kilomètres séparant la boutique de la maison au moment où éclatait le second (très, très) gros orage de la journée -ici-.
C'est donc avec un oeil rivé sur le ciel de plomb et zébré d'éclairs et l'autre sur la route que je nous ai ramenés à la maison.
Premier constat : il n'est pas si facile de passer du statut d'automobiliste à celui de cycliste.
Les repères changent brutalement.
D'abord, on prend rapidement conscience de l'importance de la qualité du revêtement, en l'occurence ici, peut mieux faire !
Entre les fissures, les trous béants dans la chaussée, ceux hâtivement rebouchés avec quelques gravillons... il faut bien se concentrer sur les premiers centimètres devant sa roue.
Se concentrer aussi sur les voitures qu'on entend sans les voir juste derrière ses petites fesses, sensation vivement désagréable.
Et le ciel qui noircit toujours davantage, délivrant ses premières gouttes (pourquoi j'ai décidé de me mettre au vélo déja ??????)
Et puis il faut bien me rendre à l'évidence : je ne sais pas comment me positionner par rapport aux voitures.
Exemple simple, aux feux, je fais comment ?
Je reste derrière les 15 bagnoles (et je prends stoïquement la pluie battante), je passe sur la droite (mauvaise option, pas la place), je les dépasse par la gauche (encore moins de place) ???
Vu les circonstances humides et orageuses, pour cette fois ce sera le trottoir !
Bref, un petit apprentissage me sera nécessaire avant de me sentir totalement à l'aise. Heureusement je peux compter sur les conseils éclairés et l'assistance de deux cyclistes chevronnés (merci Thierry & Bruno !).
Allez, petit tour de la bestiole.
Importante, la touche florale !
La petite sonnette me plaît beaucoup...
... six vitesses suffisent amplement aux faibles dénivelés libournais !
La pompe qui fait joli (mais que ça, d'après le vendeur)...
... et la lumière derrière qui fonctionne grâce à des piles (histoire d'être vue la nuit même à l'arrêt)
Le panier, c'est mieux à l'avant ?
ou bien à l'arrière ?
On dira que c'est bien à l'avant et à l'arrière !
Voilà, y'a plus qu'à maintenant...